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de Marius von Mayenburg, mise en scène Thibaut Wenger, avec France Bastoen, Nicolas Luçon, Emilie Maréchal - création française du 4 au 12.11.25 au Théâtre des Martyrs à Bruxelles et le 15.11.25 Salle Europe à Colmar.

Étincelles

En résidence dans les écoles primaires de Kaysersberg et Labaroche, Nina Blanc et Claire Schirck imaginent avec les enfants la colonie de vacances sans adultes d’Etincelles, notre prochaine production jeune public.

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de Marius von Mayenburg, mise en scène Thibaut Wenger, avec France Bastoen, Nicolas Luçon, Emilie Maréchal - création française du 4 au 12.11.25 au Théâtre des Martyrs à Bruxelles et le 15.11.25 Salle Europe à Colmar.

Étincelles

En résidence dans les écoles primaires de Kaysersberg et Labaroche, Nina Blanc et Claire Schirck imaginent avec les enfants la colonie de vacances sans adultes d’Etincelles, notre prochaine production jeune public.

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de Marius von Mayenburg, mise en scène Thibaut Wenger, avec France Bastoen, Nicolas Luçon, Emilie Maréchal - création française du 4 au 12.11.25 au Théâtre des Martyrs à Bruxelles et le 15.11.25 Salle Europe à Colmar.

Étincelles

En résidence dans les écoles primaires de Kaysersberg et Labaroche, Nina Blanc et Claire Schirck imaginent avec les enfants la colonie de vacances sans adultes d’Etincelles, notre prochaine production jeune public.

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de Marius von Mayenburg, mise en scène Thibaut Wenger, avec France Bastoen, Nicolas Luçon, Emilie Maréchal - création française du 4 au 12.11.25 au Théâtre des Martyrs à Bruxelles et le 15.11.25 Salle Europe à Colmar.

Étincelles

En résidence dans les écoles primaires de Kaysersberg et Labaroche, Nina Blanc et Claire Schirck imaginent avec les enfants la colonie de vacances sans adultes d’Etincelles, notre prochaine production jeune public.

Étincelles

Till Wiebel

© Atelier poste 4

Je parie que ce sera le plus bel été de ta vie. » Ce sont les derniers mots que la mère de Malte lui glisse avant de le laisser à l’entrée du camp de vacances. Dans ce lieu mystérieux dirigé par l’énigmatique Arthur McPush Cooperation, les esprits les plus brillants du pays se retrouvent dans un monde sans adultes. Nerds, marginaux, surdoués, ils passent leur été à diviser les atomes, mémoriser des partitions de Mozart ou chercher à rompre le continuum espace-temps.. Malte, lui, se sent à côté. Il ne sait pas pourquoi il est là. Il se pense banal, sans talent. Mais l’enfant terrible Ryan Baker, le génie universel Daze, dont le genre n’est pas précisé et la mécanicienne expérimentée Eselda le prennent sousleurs ailes et ensemble les quatre amis découvrent rapidement que l’Arthur McPushCooperation poursuit un étrange projet qui va changer le cours de leurs vies…

Étincelles parle à une génération en quête de sens, d’identité et de modèles et pose aux adolescent⋅e⋅s d’aujourd’hui une question essentielle : Qui décide de notre avenir et comment pouvons-nous le reprendre en mains ?

En cours de production

Début des répétitions en 2027

Mise en scène Nina Blanc

jeu Gaspard Raymond, Lena Dia, (en cours)

scénographie et costumes Claire Schirck

Réinventer l’aventure

Arthur McPush incarne une figure proche des élites technologiques qui veulent modeler l’avenir selon leurs visions. Les jeunes du camp, curieux⋅euse⋅s, créatif⋅ve⋅s à l’image des jeunes générations, vont prendre conscience vont prendre conscience qu’un autre futur est possible. L’étincelle se propage – une révolte douce, inventive, collective.

Arthur McPush incarne une figure proche des élites technologiques qui veulent modeler l’avenir selon leurs visions. Les jeunes du camp, curieux⋅euse⋅s, créatif⋅ve⋅s à l’image des jeunes générations, vont prendre conscience vont prendre conscience qu’un autre futur est possible. L’étincelle se propage – une révolte douce, inventive, collective.

Réinterprétation queer et contemporaine du roman d’aventure, Étincelles se trouve à la frontière entre le monde pop-post-apocalyptique des enfants de la mini-série Anna (Niccolò Amaneti) et la bande des 5 amis de la BD Seuls (Gazzotti et Vehlmann). Ici, pas de héros solitaire qui triomphe par sa seule intelligence, mais un groupe d’enfants aux talents divers, qui avancent ensemble.

La pièce m’apparaît comme une succession de fragments qui s’assemblent sous nos yeux, comme un puzzle qui se construit, scène après scène. Chaque séquence fonctionne comme une vignette de bande dessinée : un flash, un instant suspendu, une avancée brutale. On change d’espace en permanence, passant d’un laboratoire à une forêt, d’un dortoir à une salle d’un blanc infini. Tout est en perpétuel mutation.

Les personnages sont à la fois narrateurs et protagonistes : ils racontent l’histoire, l’incarnent, se transforment en d’autres figures, puis reviennent à eux-mêmes. Cette oscillation permanente entre récit et incarnation crée une tension théâtrale puissante, un jeu d’équilibre entre le présent de la représentation et celui de la fiction.

C’est un théâtre du mouvement, de la métamorphose où rien n’est figé et où tout peut basculer d’une seconde à l’autre.